AU-DELÀ DES STATISTIQUES



Membres en règle

Voyez ici combien, comme vous, ont payé leur cotisation annuelle en cette fin de siècle, que dis-je, en cette fin de millénaire. Bravo et merci !



Membres en règle

Catégorie

2000

1999

1998

Vétérans

59

99

67

Actifs

1

6

6

Amis

26

39

24

Corporatifs

1

1

1

Honorifiques

3

3

3

Total

90

148

101



Activités Carignan-Salière

Des statistiques qui parlent d’elles-même. Une année sans histoire… une année plate !!!



Activités Carignan


2000

1999

1998

Nombre d'activités

2

6

12

Nombre de participants

19

42

55

Nombre de présences

27

80

247



Ce qui s’est fait…

Organisée à la dernière minute, une participation de 5 anciens au Rassemblement des Forces du XVIIIe siècle sur la Plaine des Jeux.


La Saint-Louis a regroupé 16 participants, dont 2 qui ont dû revêtir une simple chemise, faute d’uniformes à leur taille. Les conjoints et familles de 5 vétérans ainsi que 10 membres amis y ont partagé notre repas.

Ce qui ne s’est pas fait…

Dès décembre 1999 nous avons fait une offre de services aux Fêtes de la Nouvelle-France à Québec. Les responsables ont décliné notre offre, même si le thème de cette année était Jean Talon, l’intendant vedette, débarqué ici en même temps que le Carignan en 1665. Sans qu’on nous le dise formellement, nous savons que notre prix était trop élevé. L’Histoire a quand même été respectée: les gens de la garnison de Chambly, habillés de leurs propres uniformes évoquant le Carignan-Salière ont tenu le rôle de ces soldats à Québec. Nous n’avons plus l’exclusivité. Je crois qu’on ne nous reverra pas de sitôt à Québec.


Nous n’avons eu d’autre demande qu’une participation de 3 musiciens à une fête de famille souche à l’île d’Orléans. Nous n’y sommes pas allés: nous sommes trop chers.


D’autre part…

Le malaise est de plus en plus important: si nous acceptons une parade, avec quoi allons-nous habiller les gars ?


Le matériel du Carignan s’use, s’évapore, disparaît. Les uniformes qui sont encore potables sont trop petits pour les hommes de plus de 150 ou 160 livres. Les souliers sont en piteux état et nous n’avons pas de grandes pointures. La moitié des épées n’ont plus de fourreau et les bicornes sont sérieusement rétrécis et sans allure. Nous n’avons plus de sac de balles qui nous tenaient lieu de gibernes: ils sont à l’épaule et à la hanche des animateurs (qui font un travail admirable, soit dit en passant).


Il n’aurait pas fallu qu’on nous demande pour une parade de 20 soldats: c’aurait été la panique !!


Maurice Caron, sec.

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