LE COIN DES POTINS


C’EST PAS PARCE QU’ON EST VIEUX QU’ON N’A PLUS DE MÉMOIRE !


Nous sommes en 1964. Frenchie Jarraud annonce à la radio qu’un homme veut se jeter du haut du pont Jacques-Cartier. La salle des gardes se vide. On sort à moitié vêtus, les lunches sur la table. Il ne reste à l’intérieur que le chien du capitaine Fréchette, Francis, que l’on croit seul... Quand tous reviennent à l’intérieur, Francis s’est régalé dans certains lunches, mais d’autres ont été mis à l’abri. Mystère et boule de gomme ? Évidemment, on accuse le pauvre chien ! …


Nous sommes en 1967. L’enseigne Robert Smolla doit aller inspecter les hommes avant l'arrivée du lieutenant et du capitaine. Soudain, deux sbires s’emparent de lui, le jettent dans la chambre à poudre, le ligotent à une chaise. Deux minutes avant la parade, on le libère. Il est dans un piteux état, la perruque de travers, sale. Il doit se présenter ainsi aux soldats.


Nous sommes en 196… C’est le lendemain de la fête des Français. Il y a toutes sortes d’odeurs nauséabondes dans le Fort. Ça sent justement… fort. Il y a des restes de nourriture, pâtés, etc. La garnison se régale. On prépare un plat spécial pour les soldats qui sont allés faire la garde au restaurant. Hélène de Champlain. Ils sont fourbus mais contents que leurs camarades aient pensé à eux. Ils se régalent. On les regarde manger. Seuls ceux qui ont préparé l’assiette savent ce qu’il y a dedans... Ouache !


Pierre C. Tremblay



DES BOURREAUX DE TRAVAIL

Dans toute l’histoire de l’Amicale de la Compagnie Franche de la Marine, il y a toujours eu des gens qui ont travaillé très fort. Toutefois, j’aimerais parler ici de trois personnes qui, depuis déjà plusieurs années, sont le cœur de l’Amicale, soit : M. Maurice Caron, Mme Marie-Rose Caron ainsi que le capitaine Benoit Vincent. Sans leur effort et leur professionnalisme, l’Amicale n’aurait pu évoluer autant. Ils se sont impliqués dans toutes les activités et ils ne comptent jamais leurs heures. Grâce à leur enthousiasme, qu’ils savent si bien communiquer, les parades ou les activités sont de belles réussites.


Comme le dirait M. Roger Dancause : « Sans votre apport, point de salut ! »


Sieur Boba-nomme



UN GROS MERCI !


Avec toutes les activités réalisées en 1999, il y a eu beaucoup de boulot à accomplir. Sans l’aide de tous les bénévoles qui ont donné un bon coup de main aux membres de l’Amicale, il aurait été difficile de bien mener à terme toutes les activités. Grâce à vous, l’été 1999 aura été une grande réussite. Donc, au nom de tous les membres de l’Amicale, je vous remercie beaucoup de votre implication et il me fera grandement plaisir de travailler à nouveau avec vous tous l’an prochain.


Marcel Aubé

Vice-président 2


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